Recherche par mot-clé: LITTÉRATURE ITALIENNE
606 résultats. Page 28 sur 31.
Lu par : Natacha Baumberger
Durée : 1h. 51min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 15146
Résumé:Les courts textes rassemblés ici témoignent du corps-à-corps quotidien de l'auteur avec la Bible. Le romancier italien ne cherche pas à s'avancer sur le terrain de la théologie, mais seulement à rendre compte de ses lectures quotidiennes qui structurent à la fois sa vie et son écriture. Sa volonté de comprendre le grand texte le conduit la plupart du temps à une attention particulière aux mots hébraïques, à leur sens, oublié ou enfoui par la traduction et la tradition.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 2h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14672
Résumé:Entourée de jeunes hommes qui pourraient demander sa main, l'héroïne tarde pourtant à trouver un mari car elle rêve de l'amour idéal. À trente ans, elle est déjà considérée une vieille fille par les siens, dans une Sardaigne qui connaît les affres de la Seconde Guerre mondiale... Et lorsqu'elle conclut une union très attendue, c'est en affirmant haut et fort que ce n'est pas par amour mais par raison. Comme son unique enfant, l'amour se fera attendre. Elle finira par le rencontrer sur le Continent, lors d'une cure thermale destinée à guérir son « mal de pierres », des calculs rénaux, mais qui aura raison aussi de son « mal d'amour ». À sa petite-fille, elle racontera quelques décennies plus tard ses émotions, ses cheminements, tout en laissant des zones d'ombres. La vérité ne se recomposera que longtemps plus tard, de façon inattendue, lorsque la dernière pièce du puzzle se retrouvera entre les mains de la narratrice. Mais quelle est au juste la vérité ?
Lu par : Christine Leonardi
Durée : 6h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14573
Résumé:Présentation de l'éditeur : La petite-fille rebelle et lointaine de Va où ton coeur te porte est de retour à la maison. C'est elle cette fois-ci qui écrit à sa grand-mère, et à nous, évoquant ses souvenirs, ses inquiétudes, cette rancoeur sourde qu'elle éprouve pour la femme qui l'a élevée et aimée. Surtout, elle avoue le besoin de chercher les traces des seules personnes qu'elle aurait vraiment voulu connaître : son père et sa mère. Pour cette raison, elle explore la villa de sa grand-mère et arrive jusqu'au grenier. A travers des lettres et des photos éparpillées, elle parvient à reconstruire le puzzle de la vie de ses parents défunts, un chemin nécessaire à sa propre reconstruction. Ecoute ma voix marque le grand retour au roman de Susanna Tamaro. C'est une histoire intense qui aborde des sujets éternels : le besoin de se reconnaître dans un passé afin de fonder ses racines, la nécessité vitale de cultiver patiemment de quoi donner un sens à l'avenir.
Lu par : Pascale Schiesser
Durée : 1h. 19min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 14525
Résumé:Ce court récit propose une réécriture de la Nativité et s'articule autour de la figure de Marie qui se nomme ici Myriam, une simple jeune femme juive, fiancée à Joseph quand elle tombe enceinte. Le lecteur chemine avec elle vers Bethléem, vers la délivrance et le début d'une tout autre histoire.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 33h. 34min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 14499
Résumé:Décaméron (du grec déca, dix, et êméra, jour), recueil de contes de l'Italien Boccace. L'événement auquel cet auteur eut l'art de rattacher son ouvrage est la peste qui désola Florence en 1348. Boccace suppose qu'au moment où le fléau sévit, sept jeunes filles, se rencontrant dans l'église de Ste-Marie-Nouvelle, conviennent de se réfugier dans une maison de campagne voisine de la ville, et trois jeunes gens, leurs parents ou leurs amis, les y accompagnent. Là, on reste dix jours à faire bonne chère, chanter, danser, jouer des instruments, et raconter des nouvelles tristes ou gaies, satiriques ou touchantes, et même libres... On choisit pour chaque journée un roi ou une reine, qui règle l'emploi du temps et le rang dans lequel parleront les dix membres de la société. Chacun payant son tribut tous les jours, le Décaméron se trouve naturellement divisé en 10 journées, dont chacune contient 10 Nouvelles. Dans le nombre de ces récits, il en est trois qui prouvent que Boccace avait eu entre les mains le Dolopathos, où il aura sans doute puisé l'idée de lier par un même intérêt ses cent nouvelles. II a imité également quelques-uns de nos anciens fabliaux. Boccace composa son Décaméron pour amuser la fille naturelle de Robert, roi de Sicile, la princesse Marie, qu'il avait connue à Naples, et qu'il a célébrée sous le nom de Fiammetta.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 7h. 21min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 14533
Résumé:Présentation de l'éditeur : Turquie, avril 1915. Les Arméniens sont enfin reconnus comme des citoyens à part entière. Sempad (grand-oncle de l'auteur) et sa famille, confiants, se remettent à croire en l'existence future d'une nation pour leur peuple. Mais tandis que l'Europe est accaparée par la guerre, les autorités turques organisent les premiers massacres d'Arméniens. Sempad est assassiné chez lui... Commence alors la macabre odyssée de la déportation vers le désert syrien, durant laquelle Chouchanig, la femme de Sempad, avec une volonté désespérée, lutte pour préserver ses enfants de la faim, de la soif et de la honte.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 6h. 34min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 14596
Résumé:Résumé du livre : Pourquoi les femmes, et aussi les hommes, consacrent-ils autant d'énergie et d'argent à leur apparence ? Comment comprendre cette évolution ? Femmes et hommes, nous aspirons tous à plus de beauté... Que signifie cette attention toujours plus exigeante portée à cette 'frivolité essentielle' ? S'agit-il d'une mode, d'une obsession ou est-ce le signe d'une aspiration plus profonde ? Quels sont les véritables avantages de la beauté ? Willy Pasini, célèbre psychiatre, et Maria Teresa Baldini, femme chirurgien-plasticien, proposent une réflexion sur ce qui est à notre disposition aujourd'hui pour nous améliorer sans nous transformer. Car la beauté est avant tout celle qui naît d'une juste harmonie entre le corps et l'esprit.
Lu par : Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée : 4h. 15min.
Genre littéraire : Littérature fantastique
Numéro du livre : 14879
Résumé:Moyen Age, pendant le règne de Charlemagne. Lors d'une énième guerre sainte contre les Sarrasins, le roi des Francs passe un jour son armée en revue : des chevaliers que leur nom ou leurs actions nobles ont appelé à la guerre, un peu comme Agilulfe Edme Bertrandinet des Guildivernes et autres de Carpentras et Syra, chevalier de Sélimpie Citérieure et de Fez. Un peu seulement, puisque lui, bien qu'il soit sans doute le paladin le plus consciencieux de toute l'armée de Charlemagne, n'y est pas. Il n'existe pas, il n'a pas de corps, juste une armure blanche vide et une voix, et pourtant, cela Ce qui ne l'empêche pas de combattre, de veiller à la discipline et donc est aussi présent que n'importe lequel de ses compagnons. Par hasard, la troupe cliquetante qui avance progressivement rencontre un drôle, Gourdoulou, qui se prend tour à tour pour un canard, une grenouille, un poirier, une poire, le roi, de la soupe, au fur et à mesure des choses qu'il voit. Charlemagne décide alors, par jeu, de donner comme écuyer, Gourdoulou, cet homme qui existe sans s'en douter à l'homme, Agilulfe, qui se doute sans exister. C'est ainsi que commence ce semi-conte voltairien, qui est prétexte à des évocations hilarantes des champs de batailles, entre les fantassins qui combattent et les interprètes qui traduisent au fil du combat les diverses insultes échangées par les protagonistes... De temps à autre on rencontre le personnage de la narratrice, une religieuse, cloîtrée dans son couvent, qui raconte la difficulté d'écrire sur ces choses qu'elle ne devrait pas connaître : les horreurs de la guerre, le quotidien des paladins, et pourtant qu'elle narre comme si elle y était ... L'auteur, Calvino, démystifie le moyen âge, massacre complètement la légende de la confrérie des Chevaliers du Saint Graal, au cours d'une quête improbable, d'un ton ironique remarquable. Un roman sur le moyen âge différent des autres.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 9h. 26min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14279
Résumé:L'écrivain Ledda raconte l'histoire de sa vie: c'est une revolte permanente contre l'oppression que son père exerce a son égard, chef de famille et donc du destin de ses membres.
Lu par : Liliane Pierré
Durée : 2h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14514
Résumé:De Bolzano à la Calabre, avec une halte à rome avant de poursuivre vers Paola, un voyage en train à travers des paysages admirables et humbles, des lumières éclatantes et orageuses, qui commence par une matinée d'une limpidité émouvante et s'achève dans la nuit où l'on s'enfonce avec inquiétude. Ce long trajet, d'un bout à l'autre de l'Italie, le protagoniste l'assume avec l'inertie du voyageur, spectateur d'un décor de toute beauté et toujours varié...
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 2h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12997
Résumé:Voici un Malaparte méconnu, qui tisse à travers un réseau de nouvelles son portrait chinois intime et troublant : ici l'écrivain s'amuse à se peindre en femme, en chien ou encore en saint... "Si j'étais un saint, déclare-t-il ainsi non sans une certaine provocation, je voudrais être un de ces saints véritables, desquels, comme des goûts, on ne discute pas." Mais bientôt le jeu se transforme en quête douloureuse. Derrière l'écrivain orgueilleux et souvent cruel, un homme malheureux et tourmenté se cherche, qui nous livre dans cet ouvrage raffiné "ses mouvements les plus mystérieux, ses instants les plus incertains, ses doutes, ses épouvantes et ses espoirs".
Lu par : Bernard Delannoy
Durée : 32h. 50min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 14166
Résumé:Juillet 1700, année du Jubilé, le cardinal Spada célèbre avec faste, dans son palais de Rome le mariage de son neveu. Y sont conviés les membres des plus grandes familles italiennes, dont bon nombre de prélats, ainsi que des représentants des cours européennes. Mais la fête tourne mal. Atto Melani, ancien castrat, espion de Louis XIV, est blessé d'un coup de poignard par un mendiant. Un policier, Sfasciamonti, se charge de mener l'enquête. Car la fête organisée par le cardinal Spada n'est, en réalité, qu'une façade qui cache des enjeux de tout premier plan : l'élection du prochain pape et la succession d'Espagne. Sur fond de festins et de divertissement raffinés, c'est le sort de l'Europe entière qui se joue à travers cet enchevêtrement d'énigmes.
Lu par : Pazzo Lupo
Durée : 9h. 12min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 14026
Résumé:Giovanni Guareschi, journaliste italien, publia tout d'abord en 1946 dans un hebdomadaire une nouvelle contant les démêlées antagonistes et musclées entre Don Camillo, curé d'un petit village de la plaine du Pô et son ennemi préféré, Peppone, le maire communiste ; dialoguant en direct avec le Christ en croix de son église, solide gaillard aux poings vifs, Don Camillo n'hésite pas - au nom du Seigneur - à en découdre physiquement avec Peppone.
Lu par : Alain Grundlehner
Durée : 5h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14004
Résumé:" On peut aimer et tromper. C'est une des choses les plus vraies qu'on puisse dire. L'amour n'empêche pas l'infidélité. Le sexe est infidèle, le coeur ne l'est pas. Je sais qu'il est infidèle, le sexe, mais je suis jaloux... Le coeur infidèle, c'est la fin de tout. On peut faire du sexe sans l'amour, mais on ne peut pas faire l'amour sans le sexe. L'infidélité du sexe peut être une défaillance. L'infidélité du coeur, un désastre... Vous le savez bien, j'ai toujours donné beaucoup d'importance à la femme, à l'amour, parce que c'est capital dans la vie de l'homme. J'ai beaucoup d'expérience. Et je parle d'expériences, pas de théories... La jalousie est délire et fureur. C'est une maladie, c'est une chose abominable. "Alberto Moravia, Extrait d'une conversation avec Jean-Noël Schifano in Désir d'Italie. Folio / Essais, 1990.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 9h. 47min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13867
Résumé:
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 2h. 12min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13842
Résumé:De chambres d'hôtel en gares et en hôpitaux. Un voyage en Inde à la recherche d'un ami disparu. Le héros de ce "parcours illogique" (A. Tabucchi) est "quelqu'un qui ne veut pas qu'on le trouve" et qui, en conséquence, affirme que "ça ne fait pas partie du jeu" de dire qui il est. Prix Médicis Etranger 1987
Lu par : Marie-France Javet
Durée : 12h. 41min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 13976
Résumé:Antonio Majna part en 1898 pour l'Argentine, dans l'espoir d'une vie meilleure, et laisse en Italie sa femme et sa fille, Valentina. Antonio refonde là-bas une famille. Mais dans les années soixante-dix, ses petits enfants font le chemin inverse, et partent vers l'Europe, qui pour eux est une contrée pleine d'espoir. Laura Pariani nous raconte ici le destin de familles émigrées prises entre la dictature et les arrestations policières.
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 9h. 29min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13802
Résumé:... Rosetta Loy s'est inspirée d'un document inédit - l'authentique journal intime d'un soldat - pour relater les combats de l'armée italienne en Lybie, l'un des moments forts du roman. Autre grand épisode dramatique: le massacre de civils par les nazis à Sant'Anna di Stazzema. C'est tout un monde qui s'écroule. L'occupation de l'ancienne demeure familiale par les Allemands, qui entraînera la perte de Lucia, annonce pour les personnages "la fin d'un théâtre de marionnettes qui avait fonctionné pas loin d'un siècle et demi selon ses propres règles. La succession immuable des jeunes mariées en voile blanc et souliers de satin, des berceaux qui se balancent dans l'ombre estivale et des carrioles d'enfant en bois peint, des petites voitures rouges en fer-blanc sur le gravier. La fin de la suprématie des hommes avec ou sans moustache mais toujours pleins d'autorité, la chaîne d'or de la montre en travers du plastron." (Le Temps-Livres)
Lu par : Anik Friederich
Durée : 3h. 1min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13880
Résumé:Ce livre d'Erri De Luca, écrivain italien contemporain, comporte 18 nouvelles, et démarre par un poème en vers dédié à sa mère, Mamm'Emilia, et indirectement à toutes les mères (" parce qu'être deux commence par elles "). Et ces nouvelles évoquent des thèmes aussi universels que la solitude, l'engagement politique, la foi, la rencontre amoureuse...à travers des histoires faussement banales, et à travers elles, cherchent à mettre en exergue ce qui peut unir les hommes et leur permettre ainsi d'échapper à la solitude. Mais évidemment, la solidarité humaine ne fonctionne pas à tous les coups, parce qu'elle peut aussi se refuser, et on a dans ce livre l'illustration que les hommes savent tout aussi bien s'aimer que se déchirer..." Deux n'est pas le double mais le contraire de un, de sa solitude. Deux est alliance, fil double qui n'est pas cassé.
Lu par : Claire Philippe
Durée : 5h. 56min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 13070
Résumé:Présentation de l'éditeur : Ce que nous savons depuis toujours apparaît à première vue comme un thriller, une nouvelle enquête menée par le juge Salvatore Corona - celui de Un silence de fer et de Plutôt mourir - et le commissaire Sanuti (ce dernier un peu dépaysé car il vient de débarquer du continent et a du mal à se faire aux us et coutumes sardes), aidés en coulisse par le maréchal à la retraite, Nicola Pili, fin connaisseur de tous les secrets de la région de Nuoro, cet arrière-pays sarde qui sert de décor à presque tous les romans de Fois. Le cadavre de Michele Mariongiù est retrouvé, couvert de sang, la veste criblée de balles, sur le chantier d'un immeuble en construction. Le frère aîné de la victime, un vétérinaire, est mort par suicide quelques années auparavant; son frère cadet, Raffaele, qui a des précédents judiciaires, est interrogé. Chez la veuve de la victime, Maddalena, on retrouve les restes calcinés d'un document. La mère du défunt, Mariangela, semble avoir perdu la tête; une femme d'environ 40 ans (entrée à son service à l'âge de 10 ans), Palmira, s'occupe d'elle. Tels sont les éléments sur lesquels les enquêteurs peuvent se baser. Mais les choses ne vont pas tarder à se compliquer. Sur le lieu du crime, aucune trace de balles, aucune empreinte. Or, pendant que la police scientifique travaille sur le document calciné, le médecin légiste, Osvaldo Pintus, découvre que le sang qui imprègne les vêtements du cadavre est du sang de cochon, et que la veste qu'il porte appartient à un autre mort (enterré depuis un certain temps, selon eux). En outre, un vieillard raconte avoir entendu des pelleteuses travailler jusqu'à une heure du matin sur le chantier, la nuit du crime. Un peu plus tard, une disquette parvient au procureur de Nuoro : elle contient la comptabilité d'un éleveur du pays, Francesco Lilliu : avec la complicité d'un vétérinaire, l'homme a profité frauduleusement de subventions de la Communauté européenne, en déclarant que son bétail était atteint d'une épidémie de fièvre porcine. Le juge Corona comprend bientôt que les deux affaires sont liées. En effet, le chantier sur lequel a été retrouvé Michele Marongiù appartient à l'éleveur et à son frère adoptif, Mauro Mele. Mais ce n'est pas tout : la veste du mort appartenait à Cosimo Mele (le frère aîné de Mauro) assassiné avec toute sa famille (à l'exception du petit Mauro, âgé de 10 ans) le jour de son mariage par les frères de la jeune femme qui était enceinte de lui. La jeune femme d'alors est la vieille Mariangela Mariongiù d'aujourd'hui. Chercher la femme, donc. Le juge et le commissaire finiront par établir une vérité, qui n'est peut-être pas décisive, car la vérité ne l'est jamais, conclut l'auteur. Découvrant que son mari, Michele, avait une liaison avec Palmira, qui attendait un enfant de lui (le document calciné, trouvé à son domicile, était justement le résultat d'une analyse sanguine stipulant qu'elle était enceinte), Maddalena Mariongiù l'a étranglé. Elle a ensuite demandé son aide à sa belle-mère, Mariangela, qui lui a fourni la veste de son ancien amant. Avec l'aide de Raffaele, les deux femmes ont emporté le cadavre sur le chantier et ont organisé la mise en scène. On soupçonne Mauro Mele d'avoir voulu mouiller Francesco Lilliu, lassé de couvrir son comportement malhonnête.